Acteur innovant de l’économie circulaire en France, Neobab développe des solutions spécifiques pour l’aménagement de techniques de bio-phyto-remédiation des sols et eaux de surface.
Notre innovation PHYTEM permet d’augmenter les interactions entre le sol et les plantes ; bactéries et champignons racinaires favorisant et accélérant le traitement positif des polluants.
Conception, mise en œuvre et exploitation de solutions de requalification et gestion sanitaire par phytoremédiation des sites pollués exploités ou non
Afin de proposer une alternatives aux techniques courantes du marché (chélatants chimiques, procédé physique, énergétique), le procédé PHYTEM® issu de notre Recherche & Développement,est une technique de bio-phyto-remédiation (bio-végétale) permettant de dégrader, stabiliser et/ou d’extraire in situ et on site des polluants organiques et inorganiques grâce à un travail combiné du complexe sol-racine-plante.
La valorisation des fonciers contrains grâce à des usages réversibles profitent autant au propriétaire du terrain, à l’agriculteur, à la population et à la collectivité.
De la même façon, certaines bactéries dîtes « rhizosphériques » se nourrissent d’exsudats racinaires (dépense d’énergie considérable pour la plante).
En contrepartie, certaines bactéries sécrètent des phytohormones qui stimulent le chevelu racinaire, des enzymes qui débloquent le phosphore et forment un « bouclier » protecteur autour des racines.
Pour les communes, agriculteurs et sociétés de transports ferroviaire, maritimes, routiers, nous aménageons des noues paysagères, remblais techniques, talus, couches superficielles combinées à des plantes macrophytes et hyper-accumulative servant de filtre et permettant, selon la nature des micropolluants résiduels, leur dégradation et/ou extraction.
En agriculture urbaine, notre solution permet de poursuivre la culture de légumes sur sol faiblement pollué.
Avantages du procédé Phytem® |
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Objectifs |
Utiliser les plantes et les propriétés vivantes du sol pour stabiliser, dégrader et/ ou extraire la pollution (phyto et agromining). |
Procédé |
Préparation adaptée du sol, sélection, préparation et plantation d’espèces végétales. Applicable jusqu’à 1 m de profondeur. Catalyse des phénomènes de translocation et bio-augmentation. Rotation et association culturale. Gestion / valorisation de la biomasse générée contaminée.
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Efficacité |
Effective dès réalisation. Significative dès 3 mois suite à la mise en culture. |
Temps de mise en œuvre |
Quelques semaines (aménagement de la parcelle) ; suivi dans le temps. |
Aspects Economiques |
A partir de 120 euros HT/ m². Frais d’analyses maîtrisés ; absence des frais de transport et mise en décharge. Large choix d’espèces valorisables |
Durabilité et surveillance |
Pérennité à long terme, surveillance limitée ; maraichage/horticulture possible sur site selon les niveaux de pollution. |
Economie Circulaire |
Suivant la technique de phyto-bioremédiation, les plantes sont valorisées comme combustible, huiles essentielles, ou minéraux via des procédés de chimie verte. |
Les mycorhizes (du grec mukes = champignon et rhiza = racine) sont des champignons qui vivent en symbiose avec les plantes. Ils «infectent» le système racinaire des végétaux et développent un réseau de filaments mycéliens connecté aux radicelles. Le principe de cette relation est simple: le végétal cède au champignon des sucres issus de la photosynthèse, et la mycorhize lui transmet des éléments minéraux et de l’eau.
Les pages en rapport avec PHYTEM :